Le secteur numérique voudrait occuper plus de place sur les écrans des candidats

Les « Pigeons » réapparaissent avec une série de propositions pour soutenir les start-up en France
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Cyril Zimmermann  -  DR
Les faits -

Quatre associations représentatives de l’écosystème du numérique français, le Syntec numérique, France digitale (les ex-« Pigeons » qui avaient mené la fronde sur la taxation du capital au début du quinquennat), l’Acsel et CroissancePlus, ont convié les principaux candidats mardi soir au Théâtre des variétés à Paris. Le secteur entend attirer l’attention sur ce qui n’est pas, à ses yeux, un simple enjeu économique mais un débat de société. France digitale soumet aussi un manifeste en 16 points pour inspirer la réflexion des candidats.

Emmanuel Macron a confirmé sa venue dans la dernière ligne droite ; François Fillon a annulé la sienne et s’est fait remplacer par Nathalie Kosciusko-Morizet ; Benoît Hamon, Jean-Luc Mélenchon et Marine Le Pen ont délégué respectivement Nicolas Hazard, Mounir Majoubi et Philippe Murer, pas vraiment des têtes d’affiche. La (non)-participation des candidats à la présidentielle au « Hacking présidentiel » organisé mardi par les représentants du secteur numérqiue est assez significative.

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